lundi 17 février 2020

Le site mystérieux de Gunung Padang, Java, Indonésie - Nouvelles révélations - Part. II


Mon étude personnelle du site controversé de Gunung Padang, Java, Indonésie, que j’ai visité en juillet 2019.



Deuxième partie : les questions qui se posent au sujet de cette « montagne sacrée », et mes réponses.


I : Pourquoi ce site de terrasses ici ?

C’est une des premières questions que je me suis posée.

En effet, des montagnes, à Java, je serais tenté de dire qu’il n’y a que ça. Et celle-ci est vraiment d’une faible hauteur, et seulement 120 m plus haute que la voie de circulation qui permet d’y accéder.

D’autre part, juste en face, au nord-ouest et à faible distance à vol d’oiseau, donc bien visible, il y a un couple de montagnes beaucoup plus haute, qui forme un volcan : le Gunung Pangrango qui culmine à 3019 m et le Gunung Gede, qui doit se contenter de 2958 m.

Or, il semble que depuis des temps immémoriaux, le Gede soit une montagne sacrée pour la population locale. Et pourquoi c’est lui et non pas le Pangrango, qui est plus haut ?

Et encore : n’y aurait-t-il pas un lien entre ces deux sites (Gunung Padang et le volcan) ? Car les cinq terrasses du Gunung Padang sont orientées nord-ouest/sud-est et quand on est sur la terrasse la plus haute et qu’on domine du regard les quatre autres terrasses, on voit l’énorme masse du volcan pile dans le prolongement.

Mais, un autre élément entre dans la composition de l’image (évident sur la photo ci-dessous), ce sont les deux grands arbres dont j’ai déjà parlé plus haut et dont le tronc se sépare en deux à un mètre du sol pour les deux arbres, signe évident d’une perturbation.

Donc, la question finale est : qu’est-ce qui pourrait relier ce site de terrasses, très ancien, deux arbres qui présentent les mêmes symptômes d’une forte perturbation et une montagne considérée comme sacrée depuis très longtemps, située dans le prolongement nord/sud, à environ 15 km de là ?

La réponse est simple : un rayonnement d’origine cosmotellurique, créé dans la croûte terrestre et qui émerge du sol, faisant comme un anneau tout autour de la terre.

Ces réseaux électromagnétiques sont très nombreux et d’origines diverses, mais toujours liés à des réactions atomiques souterraines. Chaque type de réseaux crée, finalement, un maillage plus ou moins dense au-dessus du sol, tout autour de notre planète.

Ici, nous sommes en présence d’un réseau appelé « Ley-line » (du nom donné par leur inventeur, l’anglais Alfred Watkins en 1921). Les Ley-lines, comme tous les autres réseaux, sont toujours des lignes droites, ce qui permet de les suivre facilement.


Photo du site de Gunung Padang, Java, Indonésie


Or, ici, une Ley-line (d’une largeur d’1,80 m environ) traverse par le milieu les cinq terrasses, en passant sous les deux grands arbres (d’où la perturbation), poursuit en dévalant – si je puis dire – l‘escalier d’origine du site de Gunung Padang et continu jusqu’à atteindre et traverser le Gunung Gede, considéré comme sacré probablement parce qu’il est potentiellement très dangereux, avec des éruptions tous les dix ou vingt ans (mais la dernière date de 1957) avant de continuer son « tour du Monde ».


La ligne de la Ley-line du Gunung Padang est quasi parfaitement indiquée sur la photo ci-contre par le fil tendu jaune et noir qui part du bas de l’image et poursuit tout droit vers le centre de la photo en direction des deux arbres, placés juste l’un derrière l’autre.

D’autre part, cette Ley-line nord-sud croise une autre Ley-line orientée est-ouest au niveau de la séparation entre les terrasses 4 et 5.
Malheureusement, le ciel laiteux en ce début d’après-midi-là, faisait que le Gunung Gede était peu visible à l’œil, et n'appairait pas sur la photo.


II : la « pyramide souterraine », vrai ou faux ?

La publication du livre d’Alfred Watkins « The Old Straight Track », en 1925, dans lequel il révèle que les sites et les monuments sacrés les plus anciens de notre planète, comme les mégalithes, et d’autres comme les pyramides ou des édifices religieux anciens sont (tous) reliés par des chemins en forme de lignes droites, a relancé, au niveau planétaire, le mythe de l’Atlantide, le continent disparu, et sa civilisation avec.

Et certains ce sont mis à rechercher partout, sur terre comme dans les océans, des preuves de l’existence de l’Atlantide et, en particulier, des pyramides. Car, pensent certains, des monuments aussi gigantesques, comme Khéops, aussi extraordinaire et aussi vieux (officiellement 4 500 ans pour la pyramide de Khéops) n’ont pu être construit par des hommes quasiment préhistoriques de cette époque-là. D’autre part, la taille imposante de ces édifices permet de les repérer de loin, même de l’espace…

Et de nos jours, avec internet, le « délire » continue de plus belle…
On en voit partout…même en Indonésie, en particulier à Java.

Et sous les terrasses du Gunung Padang.

Comme indiqué plus haut dans l’introduction (Part.1), de nombreux articles mentionnent une construction à plusieurs étages, de type pyramide qui chapeauterait la colline naturelle nommée Gunung Padang, une construction très, très ancienne, dont les débuts sont datés de 25 000 ans et même, pour certains, de près de 28 000 ans.

Là où ça interpelle un esprit curieux comme votre serviteur, c’est que ces dates (incroyables pour beaucoup, car elles bousculent, évidemment, et pas qu’un peu, l’histoire et les croyances officielles) sont fournies non par quelques individus qui voient des « extra-terrestres » partout, mais par des laboratoires de recherches, tout ce qu’il y a d’officiel et de sérieux.

Ayant programmé un voyage à Java pour l’été 2019, j’ai voulu tenter d’en savoir un peu plus, par moi-même, sur l’existence ou pas de cette construction et sur sa datation.

Voilà les informations que j’ai obtenues :

Question 1 :

La plupart des blocs d’andésite, en dehors de ceux employés pour construire les escaliers ou des murs, étaient debout. Or, aujourd’hui, ces monolithes sont presque tous couchés. Depuis quand ?

Réponse : depuis 2 200 ans (seulement !). Il semble qu’à cette époque, une population locale a réinvesti le site (déserté depuis 2 000 ans) pour y pratiquer certains rituels mais, sans jamais s’installer en haut (apparemment, ces nouveaux arrivant ne connaissaient pas l’existence de la pyramide). Ces gens-là auraient mis à terre, volontairement, les monolithes toujours debout. (L’hypothèse, que j’ai pu lire, comme quoi se serait une série de cataclysmes qui auraient suivi la percussion de la Terre par une comète, il y a 13 000 ans, et qui aurait détruit le site de Gunung Padang, semble « folklorique »).

Question 2 :

Y-a-t-il une pyramide de construction « humaine » sous les terrasses ?

Réponse : oui.

Question 3 :

Quelles sont les dimensions de cette pyramide ?

Réponse : la pyramide serait formée de trois couches superposées qui totalisent une hauteur de 19 m. La base mesurerait 18 m dans le sens est/ouest, et 14 m dans le sens nord/sud.

Question 4 :

Quel est l’âge de cette pyramide ?

Réponse : Les débuts de la construction de cette pyramide remonterait à 16 000 ans (et non 25 000 ans, comme semblent affirmer certains). Et elle se serait achevée il y a environ 7 000 ans.

La construction s’est faite en 3 phases :
La première a donc démarré il y a 16 000 ans pour s’achever il y a 13 000 ans.
La deuxième phase a débuté il y a 10 000 ans et s’est poursuivi pendant 1 000 ans environ.
La troisième phase commence il y a 8 000 ans pour se terminer il y a 7 000 ans environ.

Question 5 :

Combien de personnes vivait ici ?

Réponse : environ 52 personnes vivaient ici durant la première phase, une quarantaine durant la deuxième phase et une trentaine durant la troisième phase. Des hommes, des femmes et des enfants.

Les premiers habitants du site sont venus s’installer ici il y a 19 000 ans. Le site a été finalement abandonné par les habitants de la pyramide il y a 4 500 ans. Durant ces 15 000 ans, le site a toujours été habité.

Question 6 :

Pourquoi ces gens sont venus s’installer sur cette montagne et comment vivaient-t-ils ?

Réponse : Je n’ai pas réussi à savoir pourquoi cette population est venue s’installer ici. Cette construction leur servait d’abri. Ils y vivaient, ils y dormaient.

Ils étaient aussi éleveurs. Ils avaient des moutons et aussi des poules. Et ils chassaient. Les moutons étaient réunis dans des enclos ou des abris, à l’extérieur de la pyramide et à l’extérieur des cinq terrasses.

Les bâtisseurs de la pyramide savaient qu’une « Ley-line » parcourait la montagne, et qu’elle rejoignait la montagne Gede. Or, ces gens-là se rendaient déjà occasionnellement au sommet du Gede afin de pratiquer certains rituels religieux.

Leur installation sur le Gunung Padang semble, au moins en partie, liée à l’existence de la « Ley-line ».

On pourra, par ailleurs, remarquer que les limites des terrasses sont marquées par le passage des murs telluriques du type réseau Hartmann de niveau 2 et du niveau 3 (entre les terrasses IV et V), comme je l’ai indiqué sur le plan ci-dessous. (Plan extrait de la revue de recherche archéologique indonésienne Pelita III).


Plan du site de Gunung Padang, Java, Indonésie avec les réseaux Hartmann et la Ley-line
Les réseaux Hartmann et le croisement de la Ley-line sur la terrasse de Gunung Padang.



J’ai lu à plusieurs reprises que ce site du Gunung Padang était destiné à des rituels religieux. C’est partiellement exact car, comme indiqué plus haut, il a aussi servi de cimetière, au moins pour quelques éminentes personnalités.

Question 7 :

Y a-t-il de « grandes pièces ou salles de vie » à l’intérieur de la construction ?

Réponse : les images modélisées de l’intérieur de la pyramide qui sont apparues après l’exploitation des données à la suite de tous les relevés pratiqués en 2014, semblent montrer, d’après certains, de grandes chambres. Graham Hancock, lui-même, qui a fini par apprendre l’existence de ce site, et même à y aller, affirme, très enthousiaste, qu’il y en a trois.

Les réponses que j’ai obtenues sont les suivantes : au niveau inférieur, il n’y aurait aucune grande chambre. Au niveau médian, il pourrait y en avoir une et au niveau supérieur, il semblerait qu’il y en ait une et, peut-être deux. Mais tout cela n’est pas certain et doit être vérifier.


III : Quelle est cette « civilisation » qui a construit cette pyramide et ce site de Gunung Padang ? Et, y-a-t-il d’autres sites de ce type à Java et même ailleurs ?



Réponses : Il y aurait sept autres constructions pyramidales du genre de Gunung Padang sur l’île de Java et, il y en a eu en tout 83 autres dans le monde, réparties sur l’ensemble de la planète.

Les bâtisseurs de ces pyramides étaient guidés par des « initiés » instruits par des émanations descendues sur Terre des « Melchisedech » (des êtres d’Orion chargés de protéger notre planète), de la 35e dimension. 

Ces êtres sont arrivés il y a 16 000 ans au moment du début de la construction de la partie la plus ancienne de la pyramide souterraine. Ils appartenaient à une dimension supérieure aux gardiens actuels qui ont atteints « seulement » la 29e dimension.

(Encore une fois, je le répète, les informations que je donne ici, sont les réponses que j'ai obtenues à mes questions. Ce ne sont pas mes convictions personnelles. Y croit qui veut...)

Bien sûr, j’ai posé la question de la finalité de toutes ces pyramides. Je n’ai pas réussi à obtenir de réponse.


Les 8 pyramides de Java :

Il y aurait donc huit « pyramides » de type Gunung Padang à Java. J’ai cherché à localiser les sept autres. Voilà ce que j’ai trouvé :


Carte avec l'implantation des 8 sites de Gunung Padang, Java, Indonésie



Elles sont toutes positionnées dans la partie ouest de l’île, la région appelée « Sunda ».

I : Gunung Padang
II : Situs Nantung Pasangraham, Sumedang, Jawa Barat.
III : Au nord de Bedenpasirkopo, au sud de Rangkasbitung, Jawa Barat
IV : Situs Balegede, au sud du Gunung Patuha, au sud de Bandung
V : Situs Sirnabakti, au nord de Pameungpeuk et au sud de Garut
VI : Situs Gunung Masigit, au nord-ouest de Garut
VII : Situs Bantarsari, au sud-est de Lengkong, au sud de Sukabumi
VIII : Situs Puteran, à l’est de Cianjur et au nord-ouest de Bandung.

Deux informations importantes qui pourraient apporter au moins un début d’explication sur la raison de leur implantation à ces endroits-là, et pas ailleurs :

Premièrement : Ces 8 sites sont tous traversés par un croisement de « Ley-line ».

Deuxièmement : Un vortex de niveau 3 émerge du sol de chacun de ces 8 sites.


Conclusion :

J’ai voulu profiter de mon voyage à Java pour visiter ce site qui fait couler tant d’encre, voir, en quelque sorte, « la chose » de mes yeux et m’en faire une idée globale.

Il s’agissait aussi d’en faire une pré étude in-situ et savoir si les terrasses de Gunung Padang étaient bien aussi anciennes que certaines analyses scientifiques le prétendaient (de nos jours, malheureusement, on publie n’importe quoi pour « faire du sensationnel », aussi, tel Saint Thomas, je préfère croire après avoir vérifié par moi-même, dans la mesure de mes capacités et de mes possibilités).

Au-delà de l’étude du site, je voulais voir si le cas précis de ce monument confirme ou infirme la grande théorie développée par Graham Hancock dans son livre fameux.

Bien que mon étude soit parcellaire et que les réponses que j’ai reçues à mes questions ne sont pas toujours franches, sans parler de celles dont je n’ai pas eu de réponse, il est clair que ce site repousse sensiblement les dates des premières grandes constructions humaines, telles que nous pouvons les lire dans n’importe quel livre scolaire.

Je rappelle les informations principales que j’ai obtenues : 11 900 ans d’âge pour les terrasses ; les premiers habitants arrivés ici il y a 19 000 ans et les débuts de la construction de « la pyramide » il y a 16 000 ans. Fin de la construction il y a environ 7 000 ans et, finalement, abandon du site il y a 4 500 ans.

Bien que les dates que j’ai obtenues ne remontent pas jusqu’à 25 000 ans ou plus encore, je confirme, dans l’esprit, les conclusions faites par les autres études, sur le côté « exceptionnel » de ce site et son « extraordinaire » ancienneté.

Ce qui, pour le coup, apporte du « bon » grain au moulin de Graham Hancock.

Quant à savoir, quelle est « la civilisation » qui a fait tout cela, d’où elle tenait ses connaissances, je préfère ne pas trop en dire sur ce sujet car, ça pourrait nous amener très loin…mais, d’après mes premières informations, il semblerait que toutes ces constructions (les 8 de Java et les 83 en tout), n’aient rien à voir avec l’Atlantide et les peuples Atlantes, qui font fantasmer tant de monde. Il ne serait question ici que « d’initiés ». A confirmer !

Je ne me prononce donc pas, pour le moment, sur l’aspect « Grand Mouvement Planétaire » en ce qui concerne toutes ces pyramides, n’ayant étudié que ce site de Gunung Padang. 
Mais je doute que quiconque puisse un jour apporter une réponse définitive à des questions qui nous font remonter bien trop loin dans le passé, un passé qui comporte beaucoup trop de trous à combler et un trop grand manque de preuves, pour que nous puissions en avoir une représentation relativement claire.

Un dernier mot pour finir, et aussi pour relancer le sujet des mystérieuses pyramides de Java.

J’ai trouvé sur internet une page consacrée site de Nantung Pasangraham, avec une paire de photos où l’on voit, là-aussi, un gros tas de monolithes d’andésite, similaires à ceux de Gunung Padang, et qui semblent avoir été utilisé pour des constructions.

J’ai voulu faire une étude rapide de datation de ces pierres : 10 000 ans environ.
Donc, globalement, de la même époque, très lointaine, que celles de Gunung Padang.

Photo, vue du ciel, du site de Gunung Padang, Java, Indonésie
Les terrasses de Gunung Padang, vue du ciel. (Auteur de la photo inconnu. Merci à lui).



Bref complément de fin novembre 2019 :

Cet article a été écrit au mois d’août 2019, à mon retour d’Indonésie et, aussi, après avoir lu le livre de Graham Hancock « l’Empreinte des dieux », en début d’année.

Cet article n’étant toujours pas publié en cette fin d’année, cela me permet d’y ajouter ce petit complément. 
En effet, repassant par la case FNAC début novembre, je suis tombé sur un deuxième livre de Graham Hancock, beaucoup plus récent mais aussi épais, et dont j’ignorais l’existence : « Magiciens des dieux », en français.

Or, il se trouve que dans ce dernier livre, Hancock consacre le chapitre deux, à Gunung Padang, ainsi qu’à d’autres sites d’Indonésie à d’autres endroits du livre.

Je suis en train de lire ce livre, suite et complément du premier et, tout aussi passionnant et, j’aurais très probablement l’occasion d’en parler dans un deuxième volet de mon étude sur Gunung Padang et les pyramides de Java (et, peut-être d’ailleurs) car, pour le moment, je ne souhaite ni reprendre cet article, ni y rajouter vingt pages de plus, celui-ci étant déjà, selon moi, suffisamment long.



Photos et texte de Michel ROJO.
Pour toute étude, recherche et datation, contact : michelrecherchedatations@gmail.com  







dimanche 16 février 2020

Le site mystérieux de Gunung Padang en Indonésie - Nouvelles datations - Part. 1.


Mon étude personnelle du site controversé de Gunung Padang, à Java, Indonésie, que j'ai visité en juillet 2019.


Mots clés : Gunung Padang, pyramides, Java, Indonésie, mégalithes, Gunung Gede, anciennes civilisations, Ley-lines.


Introduction.


Il y a un an environ (2018), parcourant les allées de la FNAC de Montpellier, mon regard a été attiré par un livre de Graham Hancock : L’empreinte des dieux. Malgré l’épaisseur du bouquin, près de 1000 pages, j’ai fini par le prendre, incité par son prix modique en format poche, et par les images hors texte incluses, dont chacune pointait une part d’un mystère que l’auteur promettait de dévoiler au fil de l’épaisseur des chapitres de son livre.

J’aime les mystères (comme tout le monde), et j’aime les révélations.

Un mois après, prenant mon courage à deux mains, et après une grande inspiration, j’ai ouvert le livre comme on creuse un trou avec une pelle, avec l’espoir de trouver un trésor.

Des trésors, manifestement l’auteur en a plein les mains et plein les poches. Deux mois plus tard (et oui, il faut du temps pour avaler et surtout digérer ce lourd pavé, une somme d’informations, toutes plus stupéfiantes les unes que les autres), je le refermais en me disant : « il faut que je regarde ça de plus près ». Autrement dit, je me promettais de vérifier point par point les assertions (dérangeantes pour le moins) de l’auteur. (A l’heure où j’écris cet article, je n’ai pas encore commencé…)

Des assertions dérangeantes mais pas sottes. Et c’est là tout l’intérêt de l’ouvrage – fruit de cinq ou dix ans de recherche quasi planétaire de l’auteur – qui parvient (si on adhère) à nous faire « avaler ses couleuvres » à la manière d’un filou.

C’est-à-dire que l’auteur nous entraîne dans un récit, à la manière de "Star Wars" (« il y a longtemps, très longtemps, dans une galaxie lointaine… »), sauf que là c’est sur la Terre, dans une espèce de polar qu’on ne peut plus lâcher, et dont les pièces à conviction sont des objets ou des monuments qui parsèment notre planète, et dont les auteurs seraient des civilisations anciennes mais très évoluées, et disparues.


Disparues, mais pas pour ceux – les chercheurs - qui se donneraient la peine de s’y intéresser.

Quant aux autres, les « orthodoxes de la science officielle », comme les nomme l’auteur à longueur de pages, assis sur leurs convictions fossilisées ou tétanisés à l’idée de bousculer certains tabous, il n’y a rien à en attente, nous dit Hancock, à part du dénigrement, voire des menaces.

Là où l’auteur est très fort et vraiment malin (probablement aussi pour éviter les coups des tenants de l’orthodoxie), c’est qu’il n’assène jamais ses conclusions (qui transpirent cependant à chaque page) mais, après avoir mis sur la table l’ensemble des pièces à convictions, sur le sujet auquel le chapitre du livre est dédié, et après avoir énuméré toutes les hypothèses ou possibilités explicatives, il nous dit : « et vous, qu’en pensez-vous ? est-ce que vous arrivez à la même conclusion que moi ? », celle que je ne vous ai pas dit, tout en faisant tout pour vous la faire savoir, mais sans qu’on puisse m’accuser de ne prôner que…toutes ces affabulations.

Mais, au fait, de quoi s’agit-t-il ? quel est l’objet de ce livre ?

Voilà, en deux mots et deux lignes, car ce n’est pas du tout l’objet de cet article : l’histoire de notre planète a ses mystères, qu’elle entretient par des tabous, notamment politiques ou religieux, à travers les caciques de l’orthodoxie officielle.

Concrètement, il est question dans ce livre d’un certain nombre de sites, de monuments, répartis sur la planète, qui sont beaucoup, beaucoup plus anciens que les dates officiellement communiquées (les fameuses pyramides de Gizeh, pour n’en citer qu’un, ou les têtes olmèques géantes du Mexique, qui pèsent entre 20 et 30 tonnes chacune et qui auraient été sculptées à 150 km de là où on peut les voir de nos jours), et qui n’ont pu, selon l’auteur (et tous ceux qui partagent son point de vue) être bâtis que par une ancienne civilisation qui aurait habité la Terre il y a 10 à 15 000 ans (époque nommée « âge de glace »), et qui aurait disparue à la suite d’évènements climatiques (réchauffement général) aux très lourdes conséquences (déplacements de masse continentale et forte élévation du niveau des océans, entre autres, que l’auteur étudie en profondeur, et de façon convaincante, il faut le reconnaître). Voilà !

Evidemment, dis comme ça, ça parait abracadabrantesque aussi, je ne peux que vous encourager à vous plonger dans l’enquête extrêmement approfondie de l’auteur.

Quel rapport avec le sujet de cet article, consacré au site archéologique de Gunung (montagne, en indonésien) Padang, situé au sud de la route qui relie les villes de Sukabumi et de Cianjur, tout ça au sud-est de la ville de Bogor, elle-même au sud-est de la capitale du pays, Jakarta ?


Et bien, pour faire bref, ce site de Gunung Padang a engendré un déluge d’articles de la part, entre autres, des adeptes du mythe de l’Atlantide, suite à des études beaucoup plus sérieuses et scientifiques, appuyées par des conclusions d’analyses de laboratoires, notamment américains, qui ont tendances à nous expliquer que cette montagne, en fait le sommet, n’est pas naturelle, mais une construction « humaine » de type pyramide, recouverte depuis le temps par une épaisseur de terre et de cendre volcanique (car il y a beaucoup de volcans en activité sur cette île de Java).

Mais le pire (ou le plus fort), est que certaines études datent les éléments les plus anciens de ces constructions humaines, de périodes s’étalant de 10 000 ans jusqu’à 25 000 ans.

Ce qui, évidemment, pose la question qui fâche : « qui a fait ça ? ». Si, cette pyramide existe vraiment car, je le rappelle, elle est recouverte de plusieurs mètres de terre et aussi de lave très dure, et donc personne n’y a eu accès, il y a juste eu quelques « sondages ».

Mais, ce site est néanmoins considéré comme sacré par les locaux qui l’ont aménagé, il y a plus ou moins longtemps, par un escalier de pierres qui aboutit à une succession de terrasses. L’endroit est magnifique même si c’est la « galère » pour y aller car loin de tout.


Il se trouve que je suis parti à Java en juillet 2019 pour, entre autres, visiter et étudier un certain nombre de sites archéologiques, et j’ai voulu profiter de ce voyage pour aller explorer ce lieu bien mystérieux de Gunung Padang « le plus grand site mégalithique d’Asie du Sud-est », dixit l’ancien président indonésien, monsieur Yudhoyono.


Voici mon étude et mes conclusions…


Première partie : étude du site de Gunung Padang.


Le site de Gunung Padang est composé, principalement, de cinq terrasses en étage et en retrait les unes par rapport aux autres. L’ensemble s’étale sur une longueur d’environ 122 m. La terrasse I s’élève de 2 m et a une superficie de 110 m², la terrasse II s’élève de 8 m sur 540 m², la terrasse III s’élève de 0,75 m sur 350², la terrasse IV s’élève de 1,50 m sur 365 m² et la terrasse V s’élève d’environ 2 m sur 340 m². (Source : Pelita III).

Cependant, des sondages pratiqués à l’extérieur de l’enceinte des cinq terrasses et tout autour du site ont montré que l’ensemble du site était beaucoup plus étendu que la surface visitable.

Lors de ma visite, je n’ai pas pu voir tous ces sondages ; et d’ailleurs, je ne sais même pas s’il y a encore quelque chose à voir ou si tous ces points de fouille ont été recouvert.


Par conséquent, je ne parlerai que du site principal, celui des cinq terrasses.

Photo de Gunung Padang. Image Google



La première chose qui frappe (particulièrement impressionnant vue d’avion), ce sont les milliers de blocs d’andésite (de la roche de lave) très noires, et d’environ un à deux mètres de longueur qui tapissent le site, et qui ont, notamment, été utilisés pour construire l’escalier d’accès.

Leur section présente toutes une série de surfaces de nombre variable et imparfaitement planes qui nous fait dire que seuls des hommes ont pu tailler ces rochers pour en faire des pièces très similaires les unes des autres.

Mais leur nombre impressionnant nous interpelle forcément : quelle armée de tailleurs de pierre a pu fabriquer ces milliers de pièces et, combien de temps cela a pris ?
La réalité est plus simple : ce ne sont pas des hommes – encore moins des « extra-terrestres » - qui ont commis ces œuvres mais la nature.

Un phénomène géologique parfaitement connu et expliqué. Il y a plusieurs millions d’années, la lave du volcan s’est refroidie, puis s’est craquelée pour former des millions de parallélépipèdes de quatre à huit cotés « collés » les uns contre les autres. Il n’y avait plus qu’à les séparer pour pouvoir, éventuellement, les utiliser tels quel.

Pour atteindre la première terrasse depuis le parking en contrebas, il y a deux possibilités : emprunter l’escalier de pierres d’origine ou prendre l’envolée de marches bétonnées, un choix plus pratique et moins potentiellement dangereux pour les chevilles.

La grimpette est à la portée de tout le monde car il n’y a qu’une centaine de mètres de dénivelé. La montagne culmine à une altitude somme toute modeste de 885 mètres au-dessus du niveau de la mer.


Image de Gunung Padang, Java, Indonésie

Oui, vous avez bien lu ! D’après les informations que j’ai obtenues, cet escalier a été construit 9 900 ans avant EC, par une population « terrienne » qui vivaient ici.
Il a fallu 4,5 années à un groupe de 17 personnes pour en venir au bout.


L’ensemble du site est enfermé dans un enclos en surélévation formé justement d’un mur de ces pierres d’andésite. A l’origine, toutes les pierres, hors celles utilisées pour faire l’escalier, étaient fixées debout mais, aujourd’hui, la plupart sont au sol.

Il n’existe, par ailleurs, aucune construction debout, en dehors des murets. 


Image de Gunung Padang, Java, Indonésie

Les dernières marches avant d’atteindre le mur d’enceinte de la première terrasse. Toutes les pierres que l’on voit sur cette photo datent de 9 900 ans avant EC, sauf le mur en haut à gauche.


Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Ce mur, agrandi sur cette image date, lui, de 9 900 ans.
Il a donc été construit 2 000 ans après l’escalier et l’enceinte.
Il aurait été construit pour remplacer ou consolider l’enceinte qui se serait effondrée à cet endroit.



La première terrasse.


Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

On baigne ici dans un océan de ces pierres d’andésite assez hallucinant.
La question que l’on se pose inévitablement une fois arrivé sur la première terrasse : combien y a-t-il de blocs sur ce site incroyable ?



Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Sur cette image, on remarque tout de suite ces deux arbres majestueux et un peu esseulées. 

Le premier situé vers le centre de la première terrasse, et celui du fond positionné plus ou moins vers le milieu de la deuxième terrasse. 

Mais, ce qui est particulièrement remarquable, c’est leur similitude dans l’originalité : à environ un mètre du sol, leur tronc s’est séparé en deux, signe évident d’une perturbation d’origine géologique, qui les a forcées à se séparer en deux, s’ils voulaient survivre. (Voir plus bas pour connaitre la cause en question).


Image de Gunung Padang, Java, Indonésie

Sur cette image, on voit clairement une porte d’entrée, marquée par les deux piliers debout à gauche, à ce qu’on pourrait appeler un enclos ou une salle. Je n’ai pas réussi à savoir à quoi servait ce lieu fermé, sauf que, il n’y a jamais eu d’animaux là-dedans et que les femmes n’y entraient pas non plus. Cet endroit date de la construction de la terrasse, il y a 11 900 ans.



Image de Gunung Padang, Java, Indonésie

Un panneau indique « Gunung musigit », la montagne musicale, ce tas de pierres, car ces pierres émettent, parait-il, des sons quand on les frotte avec les doigts. Je n’ai pas tenté l’expérience…



Image de Gunung Padang, Java, Indonésie

Du haut de la deuxième terrasse, on voit très bien la salle dont j’ai parlé plus haut, ainsi que sur la gauche, la « montagne musicale ». A l’extrême gauche, une autre salle, mal définie.



Deuxième terrasse


Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Sur la deuxième terrasse, on peut voir cet emplacement qui attire le regard. Une dalle de pierres, rectangulaire, de la taille d’un homme, entourée d’un mur de pierres debout.
C’est une tombe avec un homme, important, et ses deux épouses.
Ils ont vécu ici il y a 9 250 ans.



Terrasses trois, quatre et cinq

Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Terrasse trois au 1er plan juste après la porte. Terrasse quatre après le panneau noir au centre de l’image et terrasse cinq après l’autre panneau noir tout au fond devant les arbres.



Terrasse trois


Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Sur cette terrasse, on peut voir à nouveau une tombe, assez semblable à la précédente.
Ici, ont été enterrées quatre personnes, deux couples. Mort il y a 7 900 ans.



Terrasse quatre

Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Sur la terrasse quatre, se trouve un emplacement visiblement aménagé (il y a 10 200 ans), constitué d’un demi-quadrilatère de pierres d’andésite debout, le reste du rectangle étant formé par les racines puissantes et émergentes d’un grand et bel arbre d’environ 25 mètres de haut.

Au centre de la zone dégagée, a été érigé, à la même date, un monolithe d’andésite, tel un menhir.

Ici, point de cimetière. C’était un lieu où se pratiquait parfois un rituel religieux. Le « roi » de Gunung Padang, venait ici honorer des puissances célestes afin qu’elles accordent leurs protections à la communauté qui vivait là. C’était, semble-t-il, des offrandes de fleurs mais, il y avait aussi des sacrifices d’animaux, comme des poulets ou des moutons (mais pas d’humains).

L’ensemble date de la même époque que tout le reste.

Les cinq terrasses ont été créés dès le début de l’aménagement du site.

Je me suis néanmoins posé la question suivante : pourquoi un lieu de culte au pied de cet arbre ? Et pourquoi cette pierre dressée au milieu, qui ne ressemble pas vraiment à un menhir, mais qui fait plutôt penser à un pied d’autel ?

J’ai trouvé la réponse, très simple : je me suis souvenu que les autels de nos églises romanes et de nos prestigieuses cathédrales sont, la plupart du temps, posés, pile, au-dessus d’un vortex, une colonne d’énergie tournante, qui sort de terre et qui s’élève dans le ciel.

Dans le temple, le vortex sert de connecteur entre le croyant qui est sur la Terre et son dieu qui est au ciel.
L’âme ou l’esprit du croyant monte au ciel, pendant que la parole du dieu descend sur Terre ; c’est pourquoi on place au-dessus du vortex le support du Livre de Dieu, l’autel, parfois le lutrin.

Il y a plusieurs types de vortex. Ici au Gunung Padang, on a affaire à un vortex de niveau 3 comme, par exemple, sous l’autel de l’ancienne cathédrale de Maguelone, dans l’Hérault.


Nota : Au moment où j’écris cet article, je suis tombé, sur internet, sur une photo de cet emplacement. Sur la pierre centrale était fixé un panneau avec le texte : Batu Kanurangan. Une explication, en anglais, accompagne cette image et traduit « batu kanurangan » par « pierre énergétique ». Et indique, pour préciser : « cette pierre équilibre votre vibration et la synchronise avec la vibration cosmique ».


Visiblement, les auteurs de ce texte n’ont pas vu que la pierre est posée sur un vortex, qui plus est de niveau 3 donc très énergétique, et que c’est lui qui modifie notre niveau énergétique si on s’approche, pas la pierre. Ici, il suffit de passer à 8 m de la pierre pour être impacté par l’énergie du vortex, et s’attarder à son coté peut nuire à notre santé.



Cinquième et dernière terrasse

C’est, de loin, la terrasse la plus fournie en zones aménagées.



Dans la partie centrale de la dernière terrasse se trouve un lieu nommé « Singgasana ».


Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Deux images du « Singgasana »

Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Ce lieu particulier, au milieu de la dernière terrasse (donc l’endroit le plus élevé du site, donc...le plus près du ciel), est constitué simplement d’un dallage de grandes pierres posées à plat, et « protégé » semble-t-il par un fin muret de pierres debout qui entoure la dalle.

A la tête de cette espèce de lit, un écriteau porte le mot « SINGGASANA ».

Pour qui connait un tant soit peu le sanskrit, le mot ne fait pas de mystère. Il s’agit de la juxtaposition des deux mots « SINGGA » et « ASANA ». Le premier signifie « lion » et le second est très souvent employé pour parler des postures assises de méditation.

Par conséquent, je traduirais l’expression par : le (trône) du lion (assit) en méditation. Le lion, ici, étant le roi ou le « chef » de la communauté qui vivait là, mais qui, plus que chef, était aussi le sage, le gardien, le protecteur spirituel puisque ses méditations profondes lui permettaient de communiquer avec des forces célestes qu’il invoquait, probablement, afin qu’elles assurent la protection du « royaume » de Gunung Padang.

J’ai cherché à en savoir plus sur ce « lion » et ce trône, et les informations que j’ai obtenues racontent pour le moins une toute autre histoire : nous sommes ici devant une simple tombe. Une personne (et une seule) aurait été enterrée sous cette dalle il y a environ 9 900 ans.
C’était, semble-t-il, le grand chef de la communauté. C’est logique, vue l’endroit où la tombe a été érigée, c’est-à-dire le point zénithal de la montagne. Il avait environ 50 ans.


Plus en arrière et presque à l’extrémité de la cinquième terrasse, on trouve trois emplacements aménagés, alignés et proches les uns des autres.


Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

A l’extrémité droite du site, on peut voir cet amas de pierres couchées sur le sol.
C’est encore une tombe. Cinq personnes demeurent ici, trois hommes et deux femmes.

Tous ces gens sont morts il y a environ 9 900 ans.


Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Dans la partie centrale se trouve une partie aménagée avec, au centre une grosse pierre qui fait penser au couvercle d’un cercueil de pierre.

Une affiche indique d’ailleurs « batu pandaringan » : pierre tombale.
Et, effectivement, il s’agit bien, encore une fois, d’une tombe.

Une seule personne ici, morte il y a 9 550 ans. Le « chef » du moment.

Comme signalé plus haut, il y a trois lieux aménagés à l’extrémité de la terrasse.



Pour le dernier, on a un peu de mal à le considérer comme « aménagé » car, ce qu’on voit surtout, c’est un empilement de pierres d’andésite. Cela est confirmé par le fait qu’il n’y a aucune tombe dans ce carré.


En fait, d’après mes informations, nous avons sous les yeux un simple empilement de pierres, mais qui date de 6 000 ans environ. Et qui a précédé l’abandon du site de Gunung Padang par les gens qui vivaient ici. Abandon définitif.


Image de Gunung Padang, Java, Indonésie

Le tas de pierre, à gauche.


Nota:

Le site de Gunung Padang est actuellement gardé par 5 gardiens (un par terrasse) de la 29e dimension. Ces gardiens sont là depuis 6 300 ans et seraient des Melchizedech provenant d’Orion.

Ces gardiens cherchent encore à diffuser leurs messages (pour l’avenir de notre planète – et surtout de notre civilisation), mais n’ont personne actuellement sur place pour recueillir leurs sages paroles.

Le gardien de la 4e terrasse est assis au pied de l’arbre derrière le vortex. Il mesure debout 2,50 m de haut pour 1,50 m de large, avec une forme humaine. Tous les autres gardiens sont positionnés aux pieds des grands arbres.
Les 8 terrasses de Java, identique à Gunung Padang, sont gardées par les mêmes gardiens qu’ici.


(Cher ami lecteur, je suis conscient que les indications données ici peuvent « interloquer », pour le moins, certaines personnes. Je peux d’ailleurs l’être moi-même également car je rappelle que les informations que je diffuse sont les réponses que j’obtiens à mes questions et non mes croyances ou convictions personnelles. Chacun est libre de croire ce qu’il veut…).


Part II, à suivre...



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