Mon étude personnelle du site controversé de Gunung Padang, à Java, Indonésie, que j'ai visité en juillet 2019.
Mots clés : Gunung Padang, pyramides, Java, Indonésie,
mégalithes, Gunung Gede, anciennes civilisations, Ley-lines.
Introduction.
Il y a un an environ (2018), parcourant les allées de la FNAC
de Montpellier, mon regard a été attiré par un livre de Graham Hancock : L’empreinte
des dieux. Malgré l’épaisseur du bouquin, près de 1000 pages, j’ai fini par le
prendre, incité par son prix modique en format poche, et par les images hors
texte incluses, dont chacune pointait une part d’un mystère que l’auteur
promettait de dévoiler au fil de l’épaisseur des chapitres de son livre.
J’aime les mystères (comme tout le monde), et j’aime les
révélations.
Un mois après, prenant mon courage à deux mains, et après une
grande inspiration, j’ai ouvert le livre comme on creuse un trou avec une
pelle, avec l’espoir de trouver un trésor.
Des trésors, manifestement l’auteur en a plein les mains et
plein les poches. Deux mois plus tard (et oui, il faut du temps pour avaler et surtout
digérer ce lourd pavé, une somme d’informations, toutes plus stupéfiantes les
unes que les autres), je le refermais en me disant : « il faut que je regarde
ça de plus près ». Autrement dit, je me promettais de vérifier point par point
les assertions (dérangeantes pour le moins) de l’auteur. (A l’heure où j’écris
cet article, je n’ai pas encore commencé…)
Des assertions dérangeantes mais pas sottes. Et c’est là tout
l’intérêt de l’ouvrage – fruit de cinq ou dix ans de recherche quasi planétaire
de l’auteur – qui parvient (si on adhère) à nous faire « avaler ses couleuvres
» à la manière d’un filou.
C’est-à-dire que l’auteur nous entraîne dans un récit, à la
manière de "Star Wars" (« il y a longtemps, très longtemps, dans une galaxie
lointaine… »), sauf que là c’est sur la Terre, dans une espèce de polar qu’on
ne peut plus lâcher, et dont les pièces à conviction sont des objets ou des
monuments qui parsèment notre planète, et dont les auteurs seraient des civilisations
anciennes mais très évoluées, et disparues.
Disparues, mais pas pour ceux – les chercheurs - qui se
donneraient la peine de s’y intéresser.
Quant aux autres, les « orthodoxes de la science officielle
», comme les nomme l’auteur à longueur de pages, assis sur leurs convictions
fossilisées ou tétanisés à l’idée de bousculer certains tabous, il n’y a rien à en attente, nous dit
Hancock, à part du dénigrement, voire des menaces.
Là où l’auteur est très fort et vraiment malin (probablement
aussi pour éviter les coups des tenants de l’orthodoxie), c’est qu’il n’assène
jamais ses conclusions (qui transpirent cependant à chaque page) mais, après
avoir mis sur la table l’ensemble des pièces à convictions, sur le sujet auquel
le chapitre du livre est dédié, et après avoir énuméré toutes les hypothèses ou
possibilités explicatives, il nous dit : « et vous, qu’en pensez-vous ? est-ce
que vous arrivez à la même conclusion que moi ? », celle que je ne vous ai pas
dit, tout en faisant tout pour vous la faire savoir, mais sans qu’on puisse
m’accuser de ne prôner que…toutes ces affabulations.
Mais, au fait, de quoi s’agit-t-il ? quel est l’objet de ce
livre ?
Voilà, en deux mots et deux lignes, car ce n’est pas du tout
l’objet de cet article : l’histoire de notre planète a ses mystères, qu’elle
entretient par des tabous, notamment politiques ou religieux, à travers les
caciques de l’orthodoxie officielle.
Concrètement, il est question dans ce livre d’un certain
nombre de sites, de monuments, répartis sur la planète, qui sont beaucoup,
beaucoup plus anciens que les dates officiellement communiquées (les fameuses
pyramides de Gizeh, pour n’en citer qu’un, ou les têtes olmèques géantes du
Mexique, qui pèsent entre 20 et 30 tonnes chacune et qui auraient été sculptées
à 150 km de là où on peut les voir de nos jours), et qui n’ont pu, selon
l’auteur (et tous ceux qui partagent son point de vue) être bâtis que par une
ancienne civilisation qui aurait habité la Terre il y a 10 à 15 000 ans (époque nommée « âge de glace »), et qui aurait
disparue à la suite d’évènements climatiques (réchauffement général) aux très
lourdes conséquences (déplacements de masse continentale et forte élévation du
niveau des océans, entre autres, que l’auteur étudie en profondeur, et de façon
convaincante, il faut le reconnaître). Voilà !
Evidemment, dis comme ça, ça parait abracadabrantesque aussi,
je ne peux que vous encourager à vous plonger dans l’enquête extrêmement approfondie de l’auteur.
Quel rapport avec le sujet de cet article, consacré au site
archéologique de Gunung (montagne, en indonésien) Padang, situé au sud de la
route qui relie les villes de Sukabumi et de Cianjur, tout ça au sud-est de la
ville de Bogor, elle-même au sud-est de la capitale du pays, Jakarta ?
Et bien, pour faire bref, ce site de Gunung Padang a engendré un déluge
d’articles de la part, entre autres, des adeptes du mythe de l’Atlantide, suite
à des études beaucoup plus sérieuses et scientifiques, appuyées par des
conclusions d’analyses de laboratoires, notamment américains, qui ont tendances
à nous expliquer que cette montagne, en fait le sommet, n’est pas naturelle,
mais une construction « humaine » de type pyramide, recouverte depuis le temps
par une épaisseur de terre et de cendre volcanique (car il y a beaucoup de
volcans en activité sur cette île de Java).
Mais le pire (ou le plus fort), est que certaines études
datent les éléments les plus anciens de ces constructions humaines, de périodes s’étalant
de 10 000 ans jusqu’à 25 000 ans.
Ce qui, évidemment, pose la question qui fâche : « qui a fait
ça ? ». Si, cette pyramide existe vraiment car, je le rappelle, elle est
recouverte de plusieurs mètres de terre et aussi de lave très dure, et donc
personne n’y a eu accès, il y a juste eu quelques « sondages ».
Mais, ce site est néanmoins considéré comme sacré par les
locaux qui l’ont aménagé, il y a plus ou moins longtemps, par un escalier de
pierres qui aboutit à une succession de terrasses. L’endroit est magnifique
même si c’est la « galère » pour y aller car loin de tout.
Il se trouve que je suis parti à Java en juillet 2019 pour,
entre autres, visiter et étudier un certain nombre de sites archéologiques, et
j’ai voulu profiter de ce voyage pour aller explorer ce lieu bien mystérieux de
Gunung Padang « le plus grand site mégalithique d’Asie du Sud-est », dixit l’ancien
président indonésien, monsieur Yudhoyono.
Voici mon
étude et mes conclusions…
Première partie : étude du site de Gunung Padang.
Le site de Gunung Padang est composé, principalement, de cinq
terrasses en étage et en retrait les unes par rapport aux autres. L’ensemble
s’étale sur une longueur d’environ 122 m. La terrasse I s’élève de 2 m et a une
superficie de 110 m², la terrasse II s’élève de 8 m sur 540 m², la terrasse III
s’élève de 0,75 m sur 350², la terrasse IV s’élève de 1,50 m sur 365 m² et la
terrasse V s’élève d’environ 2 m sur 340 m². (Source : Pelita III).
Cependant, des sondages pratiqués à l’extérieur de l’enceinte
des cinq terrasses et tout autour du site ont montré que l’ensemble du site
était beaucoup plus étendu que la surface visitable.
Lors de ma visite, je n’ai pas pu voir tous ces
sondages ; et d’ailleurs, je ne sais même pas s’il y a encore quelque
chose à voir ou si tous ces points de fouille ont été recouvert.
Par conséquent, je ne parlerai que du site principal, celui
des cinq terrasses.
La première chose qui frappe (particulièrement impressionnant
vue d’avion), ce sont les milliers de blocs d’andésite (de la roche de lave)
très noires, et d’environ un à deux mètres de longueur qui tapissent le site,
et qui ont, notamment, été utilisés pour construire l’escalier d’accès.
Leur section présente toutes une série de surfaces de nombre
variable et imparfaitement planes qui nous fait dire que seuls des hommes ont
pu tailler ces rochers pour en faire des pièces très similaires les unes des
autres.
Mais leur nombre impressionnant nous interpelle forcément :
quelle armée de tailleurs de pierre a pu fabriquer ces milliers de pièces et,
combien de temps cela a pris ?
La réalité est plus simple : ce ne sont pas des hommes –
encore moins des « extra-terrestres » - qui ont commis ces œuvres mais la
nature.
Un phénomène géologique parfaitement connu et expliqué. Il y
a plusieurs millions d’années, la lave du volcan s’est refroidie, puis s’est
craquelée pour former des millions de parallélépipèdes de quatre à huit cotés «
collés » les uns contre les autres. Il n’y avait plus qu’à les séparer pour
pouvoir, éventuellement, les utiliser tels quel.
Pour atteindre la première terrasse depuis le parking en
contrebas, il y a deux possibilités : emprunter l’escalier de pierres d’origine
ou prendre l’envolée de marches bétonnées, un choix plus pratique et moins
potentiellement dangereux pour les chevilles.
La grimpette est à la portée de tout le monde car il n’y a
qu’une centaine de mètres de dénivelé. La montagne culmine à une altitude somme
toute modeste de 885 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Oui, vous avez bien lu ! D’après
les informations que j’ai obtenues, cet escalier a été construit 9 900 ans
avant EC, par une population « terrienne » qui vivaient ici.
Il a fallu 4,5 années à un groupe de 17 personnes pour en venir au bout.
Il a fallu 4,5 années à un groupe de 17 personnes pour en venir au bout.
L’ensemble du site est enfermé dans un enclos en surélévation
formé justement d’un mur de ces pierres d’andésite. A l’origine, toutes les
pierres, hors celles utilisées pour faire l’escalier, étaient fixées debout
mais, aujourd’hui, la plupart sont au sol.
Il n’existe, par ailleurs, aucune construction debout, en
dehors des murets.
Les
dernières marches avant d’atteindre le mur d’enceinte de la première terrasse. Toutes
les pierres que l’on voit sur cette photo datent de 9 900 ans avant EC,
sauf le mur en haut à gauche.
Ce mur, agrandi sur cette image date,
lui, de 9 900 ans.
Il a donc été construit 2 000
ans après l’escalier et l’enceinte.
Il aurait été construit pour
remplacer ou consolider l’enceinte qui se serait effondrée à cet endroit.
La première terrasse.
On baigne ici dans un océan de ces
pierres d’andésite assez hallucinant.
La question que l’on se pose
inévitablement une fois arrivé sur la première terrasse : combien y a-t-il
de blocs sur ce site incroyable ?
Sur
cette image, on remarque tout de suite ces deux arbres majestueux et un peu
esseulées.
Le premier situé vers le centre de la première terrasse, et celui du
fond positionné plus ou moins vers le milieu de la deuxième terrasse.
Mais, ce
qui est particulièrement remarquable, c’est leur similitude dans
l’originalité : à environ un mètre du sol, leur tronc s’est séparé en
deux, signe évident d’une perturbation d’origine géologique, qui les a forcées
à se séparer en deux, s’ils voulaient survivre. (Voir plus bas pour connaitre
la cause en question).
Sur cette image, on voit clairement
une porte d’entrée, marquée par les deux piliers debout à gauche, à ce qu’on
pourrait appeler un enclos ou une salle. Je n’ai pas réussi à savoir à quoi
servait ce lieu fermé, sauf que, il n’y a jamais eu d’animaux là-dedans et que
les femmes n’y entraient pas non plus. Cet endroit date de la construction de
la terrasse, il y a 11 900 ans.
Un panneau indique « Gunung
musigit », la montagne musicale, ce tas de pierres, car ces pierres
émettent, parait-il, des sons quand on les frotte avec les doigts. Je n’ai pas
tenté l’expérience…
Du haut de la deuxième terrasse, on
voit très bien la salle dont j’ai parlé plus haut, ainsi que sur la gauche, la
« montagne musicale ». A l’extrême gauche, une autre salle, mal
définie.
Deuxième terrasse
Sur la deuxième terrasse, on peut
voir cet emplacement qui attire le regard. Une dalle de pierres, rectangulaire,
de la taille d’un homme, entourée d’un mur de pierres debout.
C’est une tombe avec un homme,
important, et ses deux épouses.
Ils ont vécu ici il y a 9 250 ans.
Ils ont vécu ici il y a 9 250 ans.
Terrasses trois, quatre et cinq
Terrasse trois au 1er plan
juste après la porte. Terrasse quatre après le panneau noir au centre de
l’image et terrasse cinq après l’autre panneau noir tout au fond devant les
arbres.
Terrasse trois
Sur cette terrasse, on peut voir à
nouveau une tombe, assez semblable à la précédente.
Ici, ont été enterrées quatre
personnes, deux couples. Mort il y a 7 900 ans.
Terrasse quatre
Sur la terrasse quatre, se trouve un emplacement visiblement
aménagé (il y a 10 200 ans), constitué d’un demi-quadrilatère de pierres
d’andésite debout, le reste du rectangle étant formé par les racines puissantes
et émergentes d’un grand et bel arbre d’environ 25 mètres de haut.
Au centre de la zone dégagée, a été érigé, à la même date, un
monolithe d’andésite, tel un menhir.
Ici, point de cimetière. C’était un lieu où se pratiquait
parfois un rituel religieux. Le « roi » de Gunung Padang, venait ici
honorer des puissances célestes afin qu’elles accordent leurs protections à la
communauté qui vivait là. C’était, semble-t-il, des offrandes de fleurs mais,
il y avait aussi des sacrifices d’animaux, comme des poulets ou des moutons
(mais pas d’humains).
L’ensemble date de la même époque que tout le reste.
Les cinq terrasses ont été créés dès le début de
l’aménagement du site.
Je me suis néanmoins posé la question suivante :
pourquoi un lieu de culte au pied de cet arbre ? Et pourquoi cette pierre
dressée au milieu, qui ne ressemble pas vraiment à un menhir, mais qui fait
plutôt penser à un pied d’autel ?
J’ai trouvé la réponse, très simple : je me suis souvenu
que les autels de nos églises romanes et de nos prestigieuses cathédrales sont,
la plupart du temps, posés, pile, au-dessus d’un vortex, une colonne d’énergie
tournante, qui sort de terre et qui s’élève dans le ciel.
Dans le temple, le vortex sert de connecteur entre le croyant
qui est sur la Terre et son dieu qui est au ciel.
L’âme ou l’esprit du croyant monte au ciel, pendant que la
parole du dieu descend sur Terre ; c’est pourquoi on place au-dessus du
vortex le support du Livre de Dieu, l’autel, parfois le lutrin.
Il y a plusieurs types de vortex. Ici au Gunung Padang, on a
affaire à un vortex de niveau 3 comme, par exemple, sous l’autel de l’ancienne
cathédrale de Maguelone, dans l’Hérault.
Nota : Au moment où j’écris cet
article, je suis tombé, sur internet, sur une photo de cet emplacement. Sur la
pierre centrale était fixé un panneau avec le texte : Batu Kanurangan. Une
explication, en anglais, accompagne cette image et traduit « batu
kanurangan » par « pierre énergétique ». Et indique, pour
préciser : « cette pierre équilibre votre vibration et la synchronise
avec la vibration cosmique ».
Visiblement,
les auteurs de ce texte n’ont pas vu que la pierre est posée sur un vortex, qui
plus est de niveau 3 donc très énergétique, et que c’est lui qui modifie notre
niveau énergétique si on s’approche, pas la pierre. Ici, il suffit de passer à
8 m de la pierre pour être impacté par l’énergie du vortex, et s’attarder à son
coté peut nuire à notre santé.
Cinquième et dernière terrasse
C’est, de
loin, la terrasse la plus fournie en zones aménagées.
Dans la
partie centrale de la dernière terrasse se trouve un lieu nommé
« Singgasana ».
Deux
images du « Singgasana »
Ce lieu particulier, au milieu de la
dernière terrasse (donc l’endroit le plus élevé du site, donc...le plus près du
ciel), est constitué simplement d’un dallage de grandes pierres posées à plat,
et « protégé » semble-t-il par un fin muret de pierres debout qui
entoure la dalle.
A la tête de cette espèce de lit, un écriteau porte le mot
« SINGGASANA ».
Pour qui connait un tant soit peu le sanskrit, le mot ne fait pas de mystère. Il s’agit de la juxtaposition des deux mots « SINGGA » et « ASANA ». Le premier signifie « lion » et le second est très souvent employé pour parler des postures assises de méditation.
Par conséquent, je traduirais l’expression par : le
(trône) du lion (assit) en méditation. Le lion, ici, étant le roi ou le
« chef » de la communauté qui vivait là, mais qui, plus que chef,
était aussi le sage, le gardien, le protecteur spirituel puisque ses
méditations profondes lui permettaient de communiquer avec des forces célestes
qu’il invoquait, probablement, afin qu’elles assurent la protection du
« royaume » de Gunung Padang.
J’ai cherché à en savoir plus sur ce « lion » et ce
trône, et les informations que j’ai obtenues racontent pour le moins une toute
autre histoire : nous sommes ici devant une simple tombe. Une personne (et
une seule) aurait été enterrée sous cette dalle il y a environ 9 900 ans.
C’était, semble-t-il, le grand chef de la communauté. C’est logique,
vue l’endroit où la tombe a été érigée, c’est-à-dire le point zénithal de la
montagne. Il avait environ 50 ans.
Plus en arrière et presque à l’extrémité de la cinquième
terrasse, on trouve trois emplacements aménagés, alignés et proches les uns des
autres.
A l’extrémité droite du site, on peut
voir cet amas de pierres couchées sur le sol.
C’est encore une tombe. Cinq
personnes demeurent ici, trois hommes et deux femmes.
Tous ces gens sont morts il y a
environ 9 900 ans.
Dans la
partie centrale se trouve une partie aménagée avec, au centre une grosse
pierre qui fait penser au couvercle d’un cercueil de pierre.
Une affiche
indique d’ailleurs « batu pandaringan » : pierre tombale.
Et,
effectivement, il s’agit bien, encore une fois, d’une tombe.
Une seule
personne ici, morte il y a 9 550 ans. Le « chef » du moment.
Comme
signalé plus haut, il y a trois lieux aménagés à l’extrémité de la terrasse.
Pour le
dernier, on a un peu de mal à le considérer comme « aménagé » car, ce
qu’on voit surtout, c’est un empilement de pierres d’andésite. Cela est
confirmé par le fait qu’il n’y a aucune tombe dans ce carré.
En fait,
d’après mes informations, nous avons sous les yeux un simple empilement de
pierres, mais qui date de 6 000 ans environ. Et qui a précédé l’abandon du
site de Gunung Padang par les gens qui vivaient ici. Abandon définitif.
Le tas de pierre, à gauche.
Nota:
Le site de Gunung Padang est actuellement gardé par 5 gardiens
(un par terrasse) de la 29e dimension. Ces gardiens sont là depuis
6 300 ans et seraient des Melchizedech provenant d’Orion.
Ces gardiens cherchent encore à diffuser leurs messages (pour
l’avenir de notre planète – et surtout de notre civilisation), mais n’ont
personne actuellement sur place pour recueillir leurs sages paroles.
Le gardien de la 4e terrasse
est assis au pied de l’arbre derrière le vortex. Il mesure debout 2,50 m de
haut pour 1,50 m de large, avec une forme humaine. Tous les autres gardiens
sont positionnés aux pieds des grands arbres.
Les 8 terrasses de Java, identique à Gunung Padang, sont
gardées par les mêmes gardiens qu’ici.
(Cher ami lecteur, je suis conscient que les indications
données ici peuvent « interloquer », pour le moins, certaines
personnes. Je peux d’ailleurs l’être moi-même également car je rappelle que les
informations que je diffuse sont les réponses que j’obtiens à mes questions et
non mes croyances ou convictions personnelles. Chacun est libre de croire ce
qu’il veut…).
Pour tous les détails, voir la page
"Présentation".