dimanche 16 février 2020

Le site mystérieux de Gunung Padang en Indonésie - Nouvelles datations - Part. 1.


Mon étude personnelle du site controversé de Gunung Padang, à Java, Indonésie, que j'ai visité en juillet 2019.


Mots clés : Gunung Padang, pyramides, Java, Indonésie, mégalithes, Gunung Gede, anciennes civilisations, Ley-lines.


Introduction.


Il y a un an environ (2018), parcourant les allées de la FNAC de Montpellier, mon regard a été attiré par un livre de Graham Hancock : L’empreinte des dieux. Malgré l’épaisseur du bouquin, près de 1000 pages, j’ai fini par le prendre, incité par son prix modique en format poche, et par les images hors texte incluses, dont chacune pointait une part d’un mystère que l’auteur promettait de dévoiler au fil de l’épaisseur des chapitres de son livre.

J’aime les mystères (comme tout le monde), et j’aime les révélations.

Un mois après, prenant mon courage à deux mains, et après une grande inspiration, j’ai ouvert le livre comme on creuse un trou avec une pelle, avec l’espoir de trouver un trésor.

Des trésors, manifestement l’auteur en a plein les mains et plein les poches. Deux mois plus tard (et oui, il faut du temps pour avaler et surtout digérer ce lourd pavé, une somme d’informations, toutes plus stupéfiantes les unes que les autres), je le refermais en me disant : « il faut que je regarde ça de plus près ». Autrement dit, je me promettais de vérifier point par point les assertions (dérangeantes pour le moins) de l’auteur. (A l’heure où j’écris cet article, je n’ai pas encore commencé…)

Des assertions dérangeantes mais pas sottes. Et c’est là tout l’intérêt de l’ouvrage – fruit de cinq ou dix ans de recherche quasi planétaire de l’auteur – qui parvient (si on adhère) à nous faire « avaler ses couleuvres » à la manière d’un filou.

C’est-à-dire que l’auteur nous entraîne dans un récit, à la manière de "Star Wars" (« il y a longtemps, très longtemps, dans une galaxie lointaine… »), sauf que là c’est sur la Terre, dans une espèce de polar qu’on ne peut plus lâcher, et dont les pièces à conviction sont des objets ou des monuments qui parsèment notre planète, et dont les auteurs seraient des civilisations anciennes mais très évoluées, et disparues.


Disparues, mais pas pour ceux – les chercheurs - qui se donneraient la peine de s’y intéresser.

Quant aux autres, les « orthodoxes de la science officielle », comme les nomme l’auteur à longueur de pages, assis sur leurs convictions fossilisées ou tétanisés à l’idée de bousculer certains tabous, il n’y a rien à en attente, nous dit Hancock, à part du dénigrement, voire des menaces.

Là où l’auteur est très fort et vraiment malin (probablement aussi pour éviter les coups des tenants de l’orthodoxie), c’est qu’il n’assène jamais ses conclusions (qui transpirent cependant à chaque page) mais, après avoir mis sur la table l’ensemble des pièces à convictions, sur le sujet auquel le chapitre du livre est dédié, et après avoir énuméré toutes les hypothèses ou possibilités explicatives, il nous dit : « et vous, qu’en pensez-vous ? est-ce que vous arrivez à la même conclusion que moi ? », celle que je ne vous ai pas dit, tout en faisant tout pour vous la faire savoir, mais sans qu’on puisse m’accuser de ne prôner que…toutes ces affabulations.

Mais, au fait, de quoi s’agit-t-il ? quel est l’objet de ce livre ?

Voilà, en deux mots et deux lignes, car ce n’est pas du tout l’objet de cet article : l’histoire de notre planète a ses mystères, qu’elle entretient par des tabous, notamment politiques ou religieux, à travers les caciques de l’orthodoxie officielle.

Concrètement, il est question dans ce livre d’un certain nombre de sites, de monuments, répartis sur la planète, qui sont beaucoup, beaucoup plus anciens que les dates officiellement communiquées (les fameuses pyramides de Gizeh, pour n’en citer qu’un, ou les têtes olmèques géantes du Mexique, qui pèsent entre 20 et 30 tonnes chacune et qui auraient été sculptées à 150 km de là où on peut les voir de nos jours), et qui n’ont pu, selon l’auteur (et tous ceux qui partagent son point de vue) être bâtis que par une ancienne civilisation qui aurait habité la Terre il y a 10 à 15 000 ans (époque nommée « âge de glace »), et qui aurait disparue à la suite d’évènements climatiques (réchauffement général) aux très lourdes conséquences (déplacements de masse continentale et forte élévation du niveau des océans, entre autres, que l’auteur étudie en profondeur, et de façon convaincante, il faut le reconnaître). Voilà !

Evidemment, dis comme ça, ça parait abracadabrantesque aussi, je ne peux que vous encourager à vous plonger dans l’enquête extrêmement approfondie de l’auteur.

Quel rapport avec le sujet de cet article, consacré au site archéologique de Gunung (montagne, en indonésien) Padang, situé au sud de la route qui relie les villes de Sukabumi et de Cianjur, tout ça au sud-est de la ville de Bogor, elle-même au sud-est de la capitale du pays, Jakarta ?


Et bien, pour faire bref, ce site de Gunung Padang a engendré un déluge d’articles de la part, entre autres, des adeptes du mythe de l’Atlantide, suite à des études beaucoup plus sérieuses et scientifiques, appuyées par des conclusions d’analyses de laboratoires, notamment américains, qui ont tendances à nous expliquer que cette montagne, en fait le sommet, n’est pas naturelle, mais une construction « humaine » de type pyramide, recouverte depuis le temps par une épaisseur de terre et de cendre volcanique (car il y a beaucoup de volcans en activité sur cette île de Java).

Mais le pire (ou le plus fort), est que certaines études datent les éléments les plus anciens de ces constructions humaines, de périodes s’étalant de 10 000 ans jusqu’à 25 000 ans.

Ce qui, évidemment, pose la question qui fâche : « qui a fait ça ? ». Si, cette pyramide existe vraiment car, je le rappelle, elle est recouverte de plusieurs mètres de terre et aussi de lave très dure, et donc personne n’y a eu accès, il y a juste eu quelques « sondages ».

Mais, ce site est néanmoins considéré comme sacré par les locaux qui l’ont aménagé, il y a plus ou moins longtemps, par un escalier de pierres qui aboutit à une succession de terrasses. L’endroit est magnifique même si c’est la « galère » pour y aller car loin de tout.


Il se trouve que je suis parti à Java en juillet 2019 pour, entre autres, visiter et étudier un certain nombre de sites archéologiques, et j’ai voulu profiter de ce voyage pour aller explorer ce lieu bien mystérieux de Gunung Padang « le plus grand site mégalithique d’Asie du Sud-est », dixit l’ancien président indonésien, monsieur Yudhoyono.


Voici mon étude et mes conclusions…


Première partie : étude du site de Gunung Padang.


Le site de Gunung Padang est composé, principalement, de cinq terrasses en étage et en retrait les unes par rapport aux autres. L’ensemble s’étale sur une longueur d’environ 122 m. La terrasse I s’élève de 2 m et a une superficie de 110 m², la terrasse II s’élève de 8 m sur 540 m², la terrasse III s’élève de 0,75 m sur 350², la terrasse IV s’élève de 1,50 m sur 365 m² et la terrasse V s’élève d’environ 2 m sur 340 m². (Source : Pelita III).

Cependant, des sondages pratiqués à l’extérieur de l’enceinte des cinq terrasses et tout autour du site ont montré que l’ensemble du site était beaucoup plus étendu que la surface visitable.

Lors de ma visite, je n’ai pas pu voir tous ces sondages ; et d’ailleurs, je ne sais même pas s’il y a encore quelque chose à voir ou si tous ces points de fouille ont été recouvert.


Par conséquent, je ne parlerai que du site principal, celui des cinq terrasses.

Photo de Gunung Padang. Image Google



La première chose qui frappe (particulièrement impressionnant vue d’avion), ce sont les milliers de blocs d’andésite (de la roche de lave) très noires, et d’environ un à deux mètres de longueur qui tapissent le site, et qui ont, notamment, été utilisés pour construire l’escalier d’accès.

Leur section présente toutes une série de surfaces de nombre variable et imparfaitement planes qui nous fait dire que seuls des hommes ont pu tailler ces rochers pour en faire des pièces très similaires les unes des autres.

Mais leur nombre impressionnant nous interpelle forcément : quelle armée de tailleurs de pierre a pu fabriquer ces milliers de pièces et, combien de temps cela a pris ?
La réalité est plus simple : ce ne sont pas des hommes – encore moins des « extra-terrestres » - qui ont commis ces œuvres mais la nature.

Un phénomène géologique parfaitement connu et expliqué. Il y a plusieurs millions d’années, la lave du volcan s’est refroidie, puis s’est craquelée pour former des millions de parallélépipèdes de quatre à huit cotés « collés » les uns contre les autres. Il n’y avait plus qu’à les séparer pour pouvoir, éventuellement, les utiliser tels quel.

Pour atteindre la première terrasse depuis le parking en contrebas, il y a deux possibilités : emprunter l’escalier de pierres d’origine ou prendre l’envolée de marches bétonnées, un choix plus pratique et moins potentiellement dangereux pour les chevilles.

La grimpette est à la portée de tout le monde car il n’y a qu’une centaine de mètres de dénivelé. La montagne culmine à une altitude somme toute modeste de 885 mètres au-dessus du niveau de la mer.


Image de Gunung Padang, Java, Indonésie

Oui, vous avez bien lu ! D’après les informations que j’ai obtenues, cet escalier a été construit 9 900 ans avant EC, par une population « terrienne » qui vivaient ici.
Il a fallu 4,5 années à un groupe de 17 personnes pour en venir au bout.


L’ensemble du site est enfermé dans un enclos en surélévation formé justement d’un mur de ces pierres d’andésite. A l’origine, toutes les pierres, hors celles utilisées pour faire l’escalier, étaient fixées debout mais, aujourd’hui, la plupart sont au sol.

Il n’existe, par ailleurs, aucune construction debout, en dehors des murets. 


Image de Gunung Padang, Java, Indonésie

Les dernières marches avant d’atteindre le mur d’enceinte de la première terrasse. Toutes les pierres que l’on voit sur cette photo datent de 9 900 ans avant EC, sauf le mur en haut à gauche.


Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Ce mur, agrandi sur cette image date, lui, de 9 900 ans.
Il a donc été construit 2 000 ans après l’escalier et l’enceinte.
Il aurait été construit pour remplacer ou consolider l’enceinte qui se serait effondrée à cet endroit.



La première terrasse.


Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

On baigne ici dans un océan de ces pierres d’andésite assez hallucinant.
La question que l’on se pose inévitablement une fois arrivé sur la première terrasse : combien y a-t-il de blocs sur ce site incroyable ?



Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Sur cette image, on remarque tout de suite ces deux arbres majestueux et un peu esseulées. 

Le premier situé vers le centre de la première terrasse, et celui du fond positionné plus ou moins vers le milieu de la deuxième terrasse. 

Mais, ce qui est particulièrement remarquable, c’est leur similitude dans l’originalité : à environ un mètre du sol, leur tronc s’est séparé en deux, signe évident d’une perturbation d’origine géologique, qui les a forcées à se séparer en deux, s’ils voulaient survivre. (Voir plus bas pour connaitre la cause en question).


Image de Gunung Padang, Java, Indonésie

Sur cette image, on voit clairement une porte d’entrée, marquée par les deux piliers debout à gauche, à ce qu’on pourrait appeler un enclos ou une salle. Je n’ai pas réussi à savoir à quoi servait ce lieu fermé, sauf que, il n’y a jamais eu d’animaux là-dedans et que les femmes n’y entraient pas non plus. Cet endroit date de la construction de la terrasse, il y a 11 900 ans.



Image de Gunung Padang, Java, Indonésie

Un panneau indique « Gunung musigit », la montagne musicale, ce tas de pierres, car ces pierres émettent, parait-il, des sons quand on les frotte avec les doigts. Je n’ai pas tenté l’expérience…



Image de Gunung Padang, Java, Indonésie

Du haut de la deuxième terrasse, on voit très bien la salle dont j’ai parlé plus haut, ainsi que sur la gauche, la « montagne musicale ». A l’extrême gauche, une autre salle, mal définie.



Deuxième terrasse


Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Sur la deuxième terrasse, on peut voir cet emplacement qui attire le regard. Une dalle de pierres, rectangulaire, de la taille d’un homme, entourée d’un mur de pierres debout.
C’est une tombe avec un homme, important, et ses deux épouses.
Ils ont vécu ici il y a 9 250 ans.



Terrasses trois, quatre et cinq

Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Terrasse trois au 1er plan juste après la porte. Terrasse quatre après le panneau noir au centre de l’image et terrasse cinq après l’autre panneau noir tout au fond devant les arbres.



Terrasse trois


Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Sur cette terrasse, on peut voir à nouveau une tombe, assez semblable à la précédente.
Ici, ont été enterrées quatre personnes, deux couples. Mort il y a 7 900 ans.



Terrasse quatre

Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Sur la terrasse quatre, se trouve un emplacement visiblement aménagé (il y a 10 200 ans), constitué d’un demi-quadrilatère de pierres d’andésite debout, le reste du rectangle étant formé par les racines puissantes et émergentes d’un grand et bel arbre d’environ 25 mètres de haut.

Au centre de la zone dégagée, a été érigé, à la même date, un monolithe d’andésite, tel un menhir.

Ici, point de cimetière. C’était un lieu où se pratiquait parfois un rituel religieux. Le « roi » de Gunung Padang, venait ici honorer des puissances célestes afin qu’elles accordent leurs protections à la communauté qui vivait là. C’était, semble-t-il, des offrandes de fleurs mais, il y avait aussi des sacrifices d’animaux, comme des poulets ou des moutons (mais pas d’humains).

L’ensemble date de la même époque que tout le reste.

Les cinq terrasses ont été créés dès le début de l’aménagement du site.

Je me suis néanmoins posé la question suivante : pourquoi un lieu de culte au pied de cet arbre ? Et pourquoi cette pierre dressée au milieu, qui ne ressemble pas vraiment à un menhir, mais qui fait plutôt penser à un pied d’autel ?

J’ai trouvé la réponse, très simple : je me suis souvenu que les autels de nos églises romanes et de nos prestigieuses cathédrales sont, la plupart du temps, posés, pile, au-dessus d’un vortex, une colonne d’énergie tournante, qui sort de terre et qui s’élève dans le ciel.

Dans le temple, le vortex sert de connecteur entre le croyant qui est sur la Terre et son dieu qui est au ciel.
L’âme ou l’esprit du croyant monte au ciel, pendant que la parole du dieu descend sur Terre ; c’est pourquoi on place au-dessus du vortex le support du Livre de Dieu, l’autel, parfois le lutrin.

Il y a plusieurs types de vortex. Ici au Gunung Padang, on a affaire à un vortex de niveau 3 comme, par exemple, sous l’autel de l’ancienne cathédrale de Maguelone, dans l’Hérault.


Nota : Au moment où j’écris cet article, je suis tombé, sur internet, sur une photo de cet emplacement. Sur la pierre centrale était fixé un panneau avec le texte : Batu Kanurangan. Une explication, en anglais, accompagne cette image et traduit « batu kanurangan » par « pierre énergétique ». Et indique, pour préciser : « cette pierre équilibre votre vibration et la synchronise avec la vibration cosmique ».


Visiblement, les auteurs de ce texte n’ont pas vu que la pierre est posée sur un vortex, qui plus est de niveau 3 donc très énergétique, et que c’est lui qui modifie notre niveau énergétique si on s’approche, pas la pierre. Ici, il suffit de passer à 8 m de la pierre pour être impacté par l’énergie du vortex, et s’attarder à son coté peut nuire à notre santé.



Cinquième et dernière terrasse

C’est, de loin, la terrasse la plus fournie en zones aménagées.



Dans la partie centrale de la dernière terrasse se trouve un lieu nommé « Singgasana ».


Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Deux images du « Singgasana »

Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Ce lieu particulier, au milieu de la dernière terrasse (donc l’endroit le plus élevé du site, donc...le plus près du ciel), est constitué simplement d’un dallage de grandes pierres posées à plat, et « protégé » semble-t-il par un fin muret de pierres debout qui entoure la dalle.

A la tête de cette espèce de lit, un écriteau porte le mot « SINGGASANA ».

Pour qui connait un tant soit peu le sanskrit, le mot ne fait pas de mystère. Il s’agit de la juxtaposition des deux mots « SINGGA » et « ASANA ». Le premier signifie « lion » et le second est très souvent employé pour parler des postures assises de méditation.

Par conséquent, je traduirais l’expression par : le (trône) du lion (assit) en méditation. Le lion, ici, étant le roi ou le « chef » de la communauté qui vivait là, mais qui, plus que chef, était aussi le sage, le gardien, le protecteur spirituel puisque ses méditations profondes lui permettaient de communiquer avec des forces célestes qu’il invoquait, probablement, afin qu’elles assurent la protection du « royaume » de Gunung Padang.

J’ai cherché à en savoir plus sur ce « lion » et ce trône, et les informations que j’ai obtenues racontent pour le moins une toute autre histoire : nous sommes ici devant une simple tombe. Une personne (et une seule) aurait été enterrée sous cette dalle il y a environ 9 900 ans.
C’était, semble-t-il, le grand chef de la communauté. C’est logique, vue l’endroit où la tombe a été érigée, c’est-à-dire le point zénithal de la montagne. Il avait environ 50 ans.


Plus en arrière et presque à l’extrémité de la cinquième terrasse, on trouve trois emplacements aménagés, alignés et proches les uns des autres.


Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

A l’extrémité droite du site, on peut voir cet amas de pierres couchées sur le sol.
C’est encore une tombe. Cinq personnes demeurent ici, trois hommes et deux femmes.

Tous ces gens sont morts il y a environ 9 900 ans.


Photo de Gunung Padang, Java, Indonésie

Dans la partie centrale se trouve une partie aménagée avec, au centre une grosse pierre qui fait penser au couvercle d’un cercueil de pierre.

Une affiche indique d’ailleurs « batu pandaringan » : pierre tombale.
Et, effectivement, il s’agit bien, encore une fois, d’une tombe.

Une seule personne ici, morte il y a 9 550 ans. Le « chef » du moment.

Comme signalé plus haut, il y a trois lieux aménagés à l’extrémité de la terrasse.



Pour le dernier, on a un peu de mal à le considérer comme « aménagé » car, ce qu’on voit surtout, c’est un empilement de pierres d’andésite. Cela est confirmé par le fait qu’il n’y a aucune tombe dans ce carré.


En fait, d’après mes informations, nous avons sous les yeux un simple empilement de pierres, mais qui date de 6 000 ans environ. Et qui a précédé l’abandon du site de Gunung Padang par les gens qui vivaient ici. Abandon définitif.


Image de Gunung Padang, Java, Indonésie

Le tas de pierre, à gauche.


Nota:

Le site de Gunung Padang est actuellement gardé par 5 gardiens (un par terrasse) de la 29e dimension. Ces gardiens sont là depuis 6 300 ans et seraient des Melchizedech provenant d’Orion.

Ces gardiens cherchent encore à diffuser leurs messages (pour l’avenir de notre planète – et surtout de notre civilisation), mais n’ont personne actuellement sur place pour recueillir leurs sages paroles.

Le gardien de la 4e terrasse est assis au pied de l’arbre derrière le vortex. Il mesure debout 2,50 m de haut pour 1,50 m de large, avec une forme humaine. Tous les autres gardiens sont positionnés aux pieds des grands arbres.
Les 8 terrasses de Java, identique à Gunung Padang, sont gardées par les mêmes gardiens qu’ici.


(Cher ami lecteur, je suis conscient que les indications données ici peuvent « interloquer », pour le moins, certaines personnes. Je peux d’ailleurs l’être moi-même également car je rappelle que les informations que je diffuse sont les réponses que j’obtiens à mes questions et non mes croyances ou convictions personnelles. Chacun est libre de croire ce qu’il veut…).


Part II, à suivre...



Pour toute étude, recherche et datations, contact : michelrecherchedatations@gmail.com    

Pour tous les détails, voir la page "Présentation".